Naissance de la Troisième République (années 1870)

Allons-nous assister jusqu’au bout à la décourageante manifestation d’une impuissance définitive dans l’assemblée qui dispose des destinées de la France ? […] Par quelle série d’évolutions et de péripéties est-on arrivé à...

Après le vote des premières lois constitutionnelle de février 1875 sur l’organisation du Sénat et des pouvoirs publics, Léon Gambetta (1838-1882), élu à Belleville, réclame un État laïque. L’idée choque les monarchistes et...

 » Français, élevez vos âmes et vos résolutions à la hauteur des effroyables périls qui fondent sur la patrie. Il dépend encore de nous de lasser la mauvaise fortune et de montrer à l’univers ce qu’est un grand...

Dans un discours prononcé le 26 septembre 1872 à Grenoble, Gambetta évoque les couches sociales nouvelles (il précisera ces termes en 1874 : « J’ai dit les nouvelles couches non pas les classes : c’est un mauvais mot...

L’échec de la Restauration selon le duc de Broglie  » Le septennat du maréchal Mac-Mahon nous donnait un délai de quelques années pendant lesquelles la porte restait ouverte à la monarchie : le comte de Chambord pouvait...

En se ralliant à la République, Thiers a choqué ceux qui l’avaient élu parce qu’il était orléaniste. «Avec l’ordre, nos ateliers se sont rouverts, les bras ont repris leur activité, les capitaux sont revenus...

 » Il nous surgit des alliés dans les plus petits villages – non de ces braillards d’estaminet qui sont la peste du parti républicain de province, mais des paysans semi-bourgeois, indépendants par situation, et qui,...

Administreurs de société —–> Parmi les signataires de l’adresse des 363 de 1877 et les souscripteurs en faveur de la compagne électorale républicaine d’octobre 1877, on relève les noms de nombreux hommes...

Cette caricature de Daumier dénonce la bourgeoisie qui profite des paysans pour se nourrir et s’enrichir alors que ces derniers meurent de faim car ils ne peuvent pas profiter de leurs récoltes.—–> Un...

 » Les élections du 14 octobre ont affirmé une fois de plus la confiance du pays dans les institutions républicaines. (…) j’ai formé un cabinet choisi dans les deux Chambres, composé d’hommes résolus à défendre...